Muses 2015-2016

Dans cette série « Muses », le temps semble s’être arrêté.

« Classé monument historique depuis 1972, ce lieu insolite a été construit en 1796 sous le Directoire. Appelé le théâtre des Muses ou théâtre du boudoir des Muses, il présente plusieurs particularités. D’abord il est rare, puisqu’il est directoire, une période où peu de théâtres ont été construits. Il semblerait que ce théâtre appelé aussi théâtre du Boudoir des Muses ait été fermé en 1807 sur ordre de Napoléon car « les dames qui s’y exhibaient auraient été de mœurs trop légères… ».
Il aurait été « redécouvert » en 1965 au fond de la cour dans les bâtiments qui jusqu’à la Révolution abritaient le Couvent des Filles du Calvaire… »

Couvent puis maison close, entre la vierge et la fille de joie, le temps s’est suspendu… ces créatures iconiques semblent n’être jamais sorties.
Pas de reconstitution de scènes, pas d’intrusion de décor, le lieu est là.
J’ai introduit dans cette cour de jeunes beautés telles que l’on peut les imaginer à l’époque, oisives, jouissives, mais avec des corps de muses intemporelles.
Le présent dans le passé ou presque …

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In the “Muses” serie, time seems to have stopped.

“A classified historic monument since 1972, this unique place was built in 1796 under the post-Revolution French Directory regime. Called the Theater des Muses (Theater of the Muses) or Theater du Boudoir des Muses (The Sitting Room Theater of the Muses), it presents several peculiarities. First, it is rare, since it was built in Directoire style, a period when few theaters were built. Apparently, the so called The Sitting Room Theater of the Muses was closed in 1807 by order of Napoleon as “the ladies who were flaunting themsevles there had little morals conscience…”.

It was “rediscovered” in 1965 at the end of the courtyard of the buildings that until the Revolution housed the Convent of the Daughters of Calvary… ”

Convent then brothel, between the Virgin and the lady of the night, time has been suspended… These iconic creatures seem to have never left. No scene reenactments, no decorative liberties taken, the place is as it was. I brought young beauties into this court like those we could imagine where here at the time: idle, joyous, yet with bodies of timeless muses. The present in the past, or almost.

 

WARNING: Some scenes in this movie can hit a young audience.